Douleurs articulaires chroniques

Comment gérer une douleur articulaire chronique ?

Douleurs articulairesEn France, plus de 10 millions de personnes ont des soucis avec l’arthrose ou l’arthrite rhumatoïde.  Ces affections s’accompagnent souvent de douleurs articulaires chroniques.  Ce n’est donc pas surprenant que la plupart des antidouleurs soient prescrits pour ces plaintes articulaires.  Vous trouverez sur notre site web un article  spécifiquement consacré à la lutte contre la douleur en cas d’arthrose. En moyenne, vous consultez votre médecin traitant pendant 3 heures par an. Durant les 8757 heures restantes, vous êtes livré à vous-même. Il est donc important que vous puissiez apprendre comment gérer par vous-même vos plaintes douloureuses.

D’où provient cette douleur ?

Toute douleur qui persiste 3 mois ou plus et qui ne réagit pas aux traitements médicaux est considérée comme une « douleur chronique ». Dans l’arthrose, la douleur a une autre cause que dans l’arthrite rhumatoïde. L’arthrose est une maladie dans laquelle le cartilages des articulations  est dégradé. Des fragments détachés de cartilages se retrouvent donc dans le liquide articulaire. Cela entraine une inflammation de la partie interne de la muqueuse de la capsule articulaire et provoque douleur, gonflement et raideur de l’articulation. A long terme, des « taches » d’usure apparaissent au niveau des os de l’articulation qui se frottent les uns aux autres au cours des mouvements. Ces contacts d’os à os peuvent s’avérer fort douloureux lors de la mise en charge et  des mouvements de l’articulation. L’arthrite rhumatoïde est une maladie auto-immune. A cause d’un dysfonctionnement du système immunitaire, des protéines spécifiques sont produites et provoquent l’inflammation des tendons, muscles et capsules articulaires.  Par conséquent, la muqueuse produit davantage de liquide et un gonflement apparaît. La douleur continue donc à augmenter dans les articulations. Finalement, le cartilage peut être atteint par ces processus inflammatoires qui se déroulent en continu dans les articulations.

Gestion de la douleur à l’aide du paracétamol et des AINS

Paracétamol douleursEn cas de douleurs articulaires, votre médecin vous conseillera en premier lieu d’utiliser du paracétamol. Ce médicament a un effet antidouleur moyen. Cela peut déjà suffire à rendre les douleurs supportables. Toutefois, dans beaucoup de cas, l’effet antidouleur du paracétamol se réduit en cas d’usage prolongé et ce parce que le foie détruit toujours plus rapidement les substances actives. Le paracétamol n’est donc pas un antidouleur pour le long terme même s’il est utile de lui donner une vraie chance pour commencer: le paracétamol n’a presque pas d’effets secondaires et mérite donc d’avoir la préférence absolue sur toutes sortes de médicaments plus lourds. En cas de douleurs articulaires plus sévères pour lesquelles le paracétamol n’aide pas (ou plus) suffisamment, le médecin traitant prescrira dans la plupart des cas des anti-inflammatoires de type AINS. Ceux-ci ont un effet à la fois antidouleur et anti-inflammatoire. L’usage de ces AINS va de pair avec toute une série possible d’effets indésirables ennuyants. Il s’agit entre autre de plaintes gastriques et intestinales, de nausées, de vomissements, de diarrhées, d’ulcères gastriques, des troubles de la coagulation sanguine (qui peut être augmentée ou diminuée) et  de rétention d’eau. Voilà pourquoi beaucoup de patients arrêtent prématurément l’usage des ces médicaments. Et c’est donc un choix douloureux.

Prise en charge de la douleur en cas de douleurs articulaires plus sévères.

Opium douleursLes corticoïdes telle que la prednisone sont  également utilisés en cas d’inflammation chronique des articulations.  Ici aussi des effets indésirables ennuyants vont apparaître, particulièrement en cas d’usage prolongé, dans la mesure où ces médicaments influencent le système endocrinien : on observe une prise de poids (surtout au niveau du visage, la peau s’affine, les plaies guérissent laborieusement, les os deviennent plus fragiles (décalcification osseuse / ostéoporose) et la vue se détériore.  La cortisone a de plus l’effet négatif de continuer à détériorer le cartilage.  Ils sont donc dans la plupart des cas utilisés pour de courtes durées pour prévenir l’aggravation des problèmes articulaires.

Il existe encore des médicaments plus lourds appelés les opiacés.  Le tramadol et la morphine appartiennent à ce groupe.  Il est bien connu que leur usage n’est pas dénué d’effets indésirables : Par exemple, ils vous rendent plus abrutis et somnolents de sorte que, entre autre, vous ne pourrez plus rouler en voiture. La nausée aussi est un effet indésirable qui survient fréquemment.  De plus, les opiacés induisent une dépendance si bien que vous aurez besoin d’une dose toujours plus élevée.  Les opiacés ne seront donc prescrits qu’en dernier recours.

Le spécialiste de la douleur Pete Moore : Accepter la douleur !

Trousse contre douleurDes plaintes douloureuses persistantes peuvent avoir une grande influence sur votre qualité de vie.  Cela peut induire de nombreuses frustrations et déterminer votre façon d’être avec votre famille, vos amis et collègues.  Pete Moore, le spécialiste britannique de la douleur, a écrit plusieurs livres sur l’autogestion des plaintes douloureuses.  Il y encourage les patients à jouer eux-mêmes un rôle plus actif dans la réduction des plaintes.  Son conseil principal est de dire que vous devez accepter le fait que vous souffrez de douleurs chroniques.  Cela ne signifie pas que vous devez simplement vous résigner.  Accepter signifie : réaliser que vous devez entreprendre des actions pour combattre les plaintes.   L’étape suivante est d’établir un plan d’action.  En l’occurrence, il est important que vous puissiez doser vos activités et veiller à avoir un repos et une détente suffisants. Moore conseille également de vous ménager quotidiennement un temps pour faire des exercices et des mouvements corporels.  Cela va diminuer la douleur puisque votre corps sera mieux préparé aux efforts physiques.

Vos muscles seront renforcés et pourront ainsi mieux soutenir et soulager les articulations atteintes. Regardez « La Trousse à outils contre la douleur » développée par Pete Moore.

Plus de conseils contre les douleurs articulaires

Le Fonds pour la rhumatologie propose certains conseils pour mieux contrôler les douleurs articulaires.  Un pack de glace par exemple pourra soulager en cas d’inflammation.  La chaleur aide si la douleur dans vos articulations n’est PAS causée par une inflammation.  Dans ce cas, prenez par exemple une douche chaude ou utilisez un pack chauffant.  Veillez aussi à avoir un bon sommeil.  Si vous êtes fatigué durant la journée, vous supporterez moins bien la douleur.  Les personnes qui mangent plus sainement et de façon plus variée auront également moins de soucis avec leurs articulations.  Testez-le par vous-même : avec quels aliments je me sens mieux ou moins bien ?

Pour des conseils alimentaires, lisez l’article concernant l’alimentation contre les plaintes articulaires.

(réclame)

Recherchez des alternatives naturelles en cas de douleurs articulaires

Le risque de voir au fil du temps l’effet du paracétamol disparaître (ou devenir insuffisant) est bien présent,  tout comme il se peut  que par la force des choses, il vous faille arrêter l’utilisation des AINS en raison des effets indésirables.  Dans ce cas-là, il est conseillé de vous pencher sérieusement sur les alternatives naturelles pour limiter la douleur.  Aux Pays-Bas, en Belgique et en Allemagne, la combinaison des Moules à lèvres vertes, Curcumine et feuilles de cassissier est en nette progression.  Il s’agit d’anti-inflammatoires naturels sans effets secondaires ennuyants qui apportent de façon progressive de bons résultats chez 70% des utilisateurs endéans les  80 jours d’utilisation.  De plus, ce médicament est disponible sans ordonnance dans les magasins diététiques et les pharmacies et vous pouvez les utiliser sans problème avec vos antidouleurs habituels.  Dans plusieurs études scientifiques, il est établi que les Moules à lèvres vertes et la Curcumine ont un effet quasi similaire aux AINS mais de façon progressive et sans leurs effets indésirables.  Cette cure articulaire liquide se distingue des autres formes de compléments à base de Moules à lèvres vertes car l’entièreté du coquillage est rendu à 100 % liquide par un procédé unique qui préserve tous les ingrédients naturels.  De par sa forme liquide, les composants  antalgiques et anti-inflammatoires sont plus rapidement et mieux absorbés. On peut parler prudemment d’une avancée révolutionnaire dans la prise en charge des plaintes articulaires chroniques.

Cette cure articulaire liquide à base de Moules à lèvres vertes et de Bio curcumine ne combat pas uniquement la douleur et l’inflammation mais diminue également le gonflement et la raideur.  Plus d’informations sur la Moule à lèvres vertes.

Lisez ici des expériences de personnes ayant éssayées des compléments avec la moule à lèvres vertes

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